Après avoir assisté à la conférence de Mme Francine Nadal sur l’exil catalan au Québec, cette présentation pleine de sentimentalisme, de nostalgie et de souvenirs, m’a fait penser à la controverse mais juste loi de la mémoire historique qui a restauré la citoyenneté des centaines de milliers d’enfants et petits-enfants d’exilés espagnols comme un acte de justice.
Loi promulguée par le gouvernement socialiste du Président José Luis Rodriguez Zapatero en 2007. Il avait le soutien de la plupart des partis, sauf le Parti Populaire et Esquerra Republicana de Catalunya qui a proposé son propre projet: Loi sur la mémoire historique républicain et antifasciste.
Grace à cette loi, Lluis Companys est un des catalans renommé qui est parmi les 855 certificats de reconnaissance délivrés à ceux qui ont souffert la persécution ou la violence pendant la guerre civile espagnole et la dictature de Franco.
Il est important de souligner qu’il y avait des antécédents comme certains décrets et lois avant la Ley de Memoria Histórica, qui ont permis le retour de beaucoup d’exilés, c’est le cas de la loi d’amnistie de 1977 promue par Adolfo Suárez, le président de la transition.
Modification de noms des rues franquistes.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_sur_la_m%C3%A9moire_historique








